livre mer livre bleu 2010 france photos fond article paysage actualité
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Comores (5284)
· Madagascar (1037)
· Ile Maurice (313)
· Ile de la Reunion (170)
· Seychelles (138)
· Tanzanie (168)
· Mozambique (144)
· Sport (61)
· Outre-mer (85)
· Maldives (82)
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
· Photo porno a mayotte
· Site de Chat en direct et de rencontre 100% comorien
· Chat 100% comoriens et comorienne
· A MAYOTTE DES ENFANTS VIVENT DANS LES POUBELLES ET SE PROSTITUENT
· ÎLE MAURICE : DESTINATION BISTOURI
· Reunion:: Les femmes se font refaire les seins, les hommes le visage
· Madagascar. Le paradis perdu de Fort-Dauphin
· Escort Madagascar : la prostitution détournée haut de gamme
· « Communication France-Comores : du porno au bout du fil »
· Thierry Henry dans les bras d’ Alexandra Paressant
· MISS MAYOTTE Esthel succède à Nasma
· croisière au départ de la réunion
· Sport: Football - Championnat DH de Mayotte : L'AS Sada, premier leader
· porno mahoraise
· Formation des jeunes : “On est en situation de risque”
Date de création : 24.01.2008
Dernière mise à jour :
28.11.2017
10375 articles
« Quelle vision stratégique pour l’Océan indien dans les 10 ans à venir ? » Hubert Derache posait la problématique défendue dans l’élaboration du « livre bleu de la mer », au moment où les pays du monde s’affrontent pour une nouvelle définition des frontières maritimes pour une course aux métaux enfouis sous la mer.
«Livre bleu » qui sera remis au 1er ministre François Fillon, puis rendu public en octobre 2012, et sur lequel ont planché plus de 120 participants à Saint Denis de La Réunion, sous la coprésidence de Michel Lalande, préfet de la Réunion, de Hubert Derache, préfet de Mayotte et Patrick Venant, secrétaire général des Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF). « Nous devons avoir une vision partagée sur la gouvernance, la protection des milieux et la coopération régionale de notre Zone économique exclusive qui couvre 2,5 millions de km2 » reprenait Hubert Derache hier devant les journalistes.
Et pour cause… Le paysage maritime fait l’objet de toutes les attentions, tel que le souligne le site Mer et Marine dans un article intitulé « Mieux délimiter les frontières maritimes pour mieux bénéficier des ressources de la mer ».
L’enjeu ? Les hydrocarbures et les nodules polymétalliques, déjà lorgnés depuis plusieurs années. Ces nodules au nom barbare se présentent sous la forme de petites boules de couleur brun-noir légèrement aplaties de 5 à 10 centimètres de diamètre reposant sur le fond entre 4.000 et 6.000 mètres de profondeur, et source possible de nickel, cuivre, cobalt et de manganèse (site Géosciences).
Plusieurs opérateurs miniers auraient demandé, et obtenu, des titres d'explorations dans des eaux sous juridiction nationale à travers le monde. La France a également « commencé la prospection au large de Wallis-et-Futuna » d’après le 1er ministre.
Toujours selon le site Mer et Marine, depuis juillet 2010, l'Autorité Internationale des Fonds Marins (AIFM) a mis en place un règlement sur la délivrance de permis d'exploitation dans les eaux internationales. Celui-ci donne des droits de recherche et d'exploitation exclusifs sur des zones de 1000 kilomètres de côté. La Chine et la Russie ont déjà demandé des permis. La France doit se positionner rapidement, puisque, selon Matignon, « le risque d'accaparement de l'espace maritime est très fort ». C’est pourquoi le gouvernement demande une définition claire des frontières maritimes en surface et en sous-sol, et « certains espaces, notamment Outre-mer, d'être délimités avec plus de précision », a rappelé François Fillon. Il met notamment en avant le risque, en cas de main mise d’un pays tiers, de voir fragiliser la protection de ces aires marines, mais surtout leur exploitation, « dans la perspective de l'exploitation des ressources minérales profondes».
Un programme national, baptisé « Délimitation des espaces maritimes », a été confié au Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM), qui va devoir, en liaison avec toutes les administrations et organismes concernés, collecter et actualiser toutes les données sur les limites maritimes françaises.
Le gouvernement compte ensuite préparer un projet de loi qui rassemblera, de manière homogène les dispositions relatives à l'ensemble des espaces maritimes français, notamment les ZEE.
Puis, la France va demander un permis d’exploration dans les eaux internationales, puisque « nous pressentons que les ressources minérales profondes vont devenir un enjeu majeur», a rappelé François Fillon.
Et, pour se positionner le plus vite possible sur les amas sulfurés, le gouvernement veut développer les partenariats public-privé, notamment avec les industriels miniers. Le risque de dégradation est donc évident : « il n'est pas question d'exploiter les fonds marins sans avoir une meilleure connaissance des impacts environnementaux » aurait rassuré le premier ministre. Néanmoins, le code minier sera repensé pour qu'il prenne en compte ces préoccupations nouvelles et encadre les futures recherches en intégrant la question des ressources.
A.L.
photos/2011-06-16-territoires_francais_shom.jpg" alt="" />
Les territoires français dans le monde (© SHOM)
(Source : Malango Actualité)