mer merci travail éléments prénom actualité
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Comores (5284)
· Madagascar (1037)
· Ile Maurice (313)
· Ile de la Reunion (170)
· Seychelles (138)
· Tanzanie (168)
· Mozambique (144)
· Sport (61)
· Outre-mer (85)
· Maldives (82)
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
07.59.36.30.63 livreur 7j7 24h/24 de marrons, jaune vert blanche dans toute l’île-de-fr ance, ou un peu plus
Par Anonyme, le 26.10.2025
· Photo porno a mayotte
· Site de Chat en direct et de rencontre 100% comorien
· Chat 100% comoriens et comorienne
· A MAYOTTE DES ENFANTS VIVENT DANS LES POUBELLES ET SE PROSTITUENT
· ÎLE MAURICE : DESTINATION BISTOURI
· Reunion:: Les femmes se font refaire les seins, les hommes le visage
· Madagascar. Le paradis perdu de Fort-Dauphin
· Escort Madagascar : la prostitution détournée haut de gamme
· « Communication France-Comores : du porno au bout du fil »
· Thierry Henry dans les bras d’ Alexandra Paressant
· MISS MAYOTTE Esthel succède à Nasma
· croisière au départ de la réunion
· Sport: Football - Championnat DH de Mayotte : L'AS Sada, premier leader
· porno mahoraise
· Formation des jeunes : “On est en situation de risque”
Date de création : 24.01.2008
Dernière mise à jour :
28.11.2017
10375 articles
Par Sitti Batoule SAID ALI
De plus en plus, les petits commerces se doivent d'être aux normes, tantôt commerciales, tantôt administratives et même fiscales. Au point que ces petites structures ne savent plus où donner de la tête. Contrôles sur contrôles, elles se sentent harcelées. La faute à qui ? « La faute au département » accusent déjà nombre d'entre eux.
Des campagnes de contrôle sont régulièrement menées par les inspecteurs qui luttent contre le travail dissimulé. « Un véritable fléau », selon ces derniers. « C'est avant tout un casse-tête pour nous qui sommes charges de relever les délits », avoue un des fonctionnaires, « on ne sait pas toujours comment "dépatouiller" certaines situations qui demandent souvent des dons de déduction ». À Mayotte, il est courant que les petites structures fassent appel à l'entraide familiale pour tenir la boutique, mais comment arriver à distinguer le vrai du faux ? Ainsi, certains commerçants se plaignent de quelques pratiques : Yasmin, commerçante de Mtsapéré, dénonce fermement le comportement de certains gendarmes qui « désinforment » : Ces derniers expliquent que désormais, la loi s'applique sans aucune tolérance : Un membre de la famille qui aide dans une boutique est systématiquement qualifié de "travailleur au noir". Or la loi dit que pour être considéré comme salarié, certains éléments doivent être réunis : La présence d'une rémunération réelle et la soumission à un lien de subordination sont de bons indicateurs d'une relation salariale.
C'est dans ce seul cas qu'une telle entraide familiale peut être requalifiée en contrat de travail.
De bonnes habitudes qui ont du mal à prendre
« Une fois que la direction du travail et les services de l'ordre ont exercé leur pression, c'est au tour de la répression des fraudes de "ramener sa fraise" », râle un jeune entrepreneur de Mamoudzou. « Il ne faut pas afficher ”soldes" mais "promotions" », continue-t-il, évoquant l'obligation du respect du calendrier des soldes établi par la loi. Autres problèmes récurrents : L'affichage des prix, « sur une trentaine de petits magasins visités, les deux tiers n'ont pas de prix affichés », d'après Jean-Louis*, un expert du secteur, ou encore les questions de respect de normes d'hygiène et de sécurité. Qu'on parle d'extincteurs, d'agencement, d'hygiène ou de propreté, certaines normes impliquent un coût que peu de "petits commerçants" semblent prêts à assumer. La direction du travail ainsi que les services vétérinaires se retrouvent donc à faire systématiquement des mises en garde lors de leurs visites, Mais après les avertissements, c'est la répression qui entrera en vigueur, ce qui risque de condamner à disparaitre de nombreuses doukas.
*prénom d'emprunt NDLR
Source : Albaladmayotte n° 221 du 1er juin 11
voir ici